Complètement à la masse !

<br /> <br /> Je te laisse avec ces hystériques complètement à côté de la plaque de ni putes ni soumises.<br /> Rassure toi. Si NPNS  pense comme toi et que vous êtes majoritaires à vouloir soumettre cette femme à votre loi.... C'est que vous avez démocratiquement raison...<br /> <br /> Et que c'est moi qui me trompe...<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> @ Pourny<br /> Je suis la première à expliquer à certaines de ces femmes que ce n'est pas normal de se faire frapper, que ce n'est pas normal de se croire inférieure, qu'elles ont des droits. Celles à qui je<br /> tiens ce discours sont sur leur territoire. Je les ai connues durant un voyage.<br /> <br /> Ici, en France, les femmes maltraitées que j'ai connues ne portent pas de voile ou de burqa, elles se taisent, elles se tairent. Vous les croisez ici ou là, femme de colonel de l'armée, femme de<br /> l'épicier du coin, femme d'un élu du Modem... On s'en fout, pourvu qu'on ne voit rien.<br /> <br /> On ne voit leur bleus que si elles ôtent leurs vêtements ou leurs lunettes de soleil.<br /> Ici, en France, comme vous le dîtes, ces orientales apprennent à ôter leur voile d'elles même.<br /> Je crois que je cesserai de rédiger des commentaires sur ce sujet puisque je ne parle que des effets d'une règle qui se résume à cacher ce qu'on ne saurait voir quand on pourrait simplement<br /> accueillir et accompagner celles qui en ont besoin.<br /> Il y a trop de passion dans ces refus. Ce qui empêche de donner la juste mesure de ces réformes inscrites sur la feuille de route de notre gouvernement dont l'objectif ne s'inscrit pas dans<br /> l'humanitaire mais bien dans la manipulation.<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> Passage, je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne<br /> peuvent pas connaître… c’est-y pas mieux en chanson ? Trêve de plaisanterie, voilà. C’était en 1965 ou 66, peu importe. Mon épouse, étudiante s’était prise d’amitié pour Fatima (oh combien<br /> je voudrais que tu lises ceci Fatima, je ne sais pas ce que tu es devenue) une étudiante algérienne heureuse, je dis bien HEUREUSE de se trouver en France, son premier geste avait été d’ôter ce<br /> foulard qu’elle n’était pas obligée de porter là-bas, entendons-nous bien : elle n’était pas obligée, car les autorités ne l’imposaient pas.<br /> Mais elle le portait quand même, ce qui est plus grave, car cela montre bien le poids de la tradition, de la gent masculine, de la religion. Fatima nous disait aussi à quel point la femme était<br /> méprisée dans son pays, je ne m’étends pas. Alors quand je vois aujourd’hui des jeunes filles couvrir leur tête, quand je vois ces jeunes filles sous l’œil des caméras, expliquer à la porte d’un<br /> collège qu’elles sont victimes de ségrégation, je ne peux m’empêcher de penser qu’elles sont manipulées. Et je vous dirais franchement : c’est ce que j’espère !!! Car sinon, si le port<br /> de ce qui n’est pas un morceau de tissu comme vous dîtes, mais un signe, un symbole d’appartenance, donc si le port du foulard est une décision prise librement, alors, quel retour en arrière,<br /> quelle régression ! Franchement, croyez-vous qu’on n’a pas autre chose à faire, aujourd’hui, et pour commencer, lutter contre les brutalités faîtes aux femmes, contre les disparités de<br /> salaire, contre les discriminations à l’embauche. Mais bon sang, personne (à part quelques crânes rasés qui n’ont d’autre avenir que de profaner des tombes ou des lieux de culte) dans ce pays<br /> n’interdit à personne de croire et de pratiquer sa religion ! Mais il y a la manière.<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> Je découvre que tu as un don. Tu lis dans leurs pensées, tu sais donc leur intention.<br /> <br />  Je n'ai pas cette capacité et je me garde de prêter des intentions destructrices à ces femmes. J'imagine simplement qu'elles vivent leur vie comme elles veulent et un bout de chiffon ne me<br /> semble pas dangereux... A dire vrai, c'est tout juste si je le vois. Personnellement, je me fie au regard, aux mots et aux actes. Ceci explique cela...<br /> <br /> J'ai connu des personnes en politique bien plus dangereuses et mettant en danger la démocratie... Mais sans foulard et avec la protection du chef, les bien pensants qui s'acharnent contre un<br /> foulard aujourd'hui ont fermé les yeux avec indulgence...  Plus risqué un François Xavier de Perreti qu'avec une femme qui porte un foulard... Non ?<br /> <br /> <br />

<br /> Comme tu dis, certaines risquent gros... D'où ma proposition d'aider celles qui le désirent... Pas les forcer. C'est ce que je te disais, une arme redoutable...<br /> Il y a plusieurs manières de lapider. Même si tu ne peux ou veux pas le comprendre<br /> <br /> <br />